SACRILEGE A FATIMA, suivi de Jean-Paul II et le signe de la grande initiation schivaïte.

édition originale, qualité 3, 1 volume  14,5 x 20, 17 pages  : 4 €

 Voici l'intégralité du texte que vous pouvez librement diffuser.

Le "Catholic Family News" a pu obtenir une copie du reportage de SIC  Television, sur cette cérémonie hindouiste, au Sanctuaire de Fatima[1].

Ce sacrilège a eu lieu le 5 Mai 2004, avec la bénédiction du recteur du sanctuaire Guerra, et de l'évêque de Leira-Fatima : D.Serafim de Sousa Ferreira e Silva. 

L'hindouisme, une des plus anciennes religions, est caractérisé, comme le paganisme gréco-romain, par une multitude de divinités; adorées sous l'aspect de vie et de sainteté : émanation du "dieu bon"; et de destruction et de mort: émanation du "dieu mauvais"  

Une jeune hindoue a expliqué, également : " comme chaque hindou croit que tous les êtres humains sont membres d'une même famille, il est normal pour nous,  de voir toute manifestation de Dieu, y compris Notre-Dame de Fatima, comme une manifestation du même dieu." Ainsi donc, les hindous n'honorent pas Notre-Dame de Fatima, mais une manifestation de leur dieu païen.  Une telle abomination est, effectivement " un moment unique, et inouï, dans  l'histoire du sanctuaire"  selon le commentaire du journaliste de SIC !

Le pape Pie XI,  consacrant l'humanité au Sacré-Cœur de Jésus, pria pour la conversion de tous ceux qui ne sont pas membres du Corps Mystique. Il invoqua Notre-Seigneur: "Soyez le Roi de tous ceux qui sont plongés dans les ténèbres de l'idolâtrie."[2]  Et c'est cette idolâtrie qui est, maintenant pratiquée à Fatima, profanant le sanctuaire !... Les hindous sont venus à Fatima avec "une carte de tous les lieux, où ils prétendent trouver les vibrations de sainteté" !.... Le Catholic Family News a relaté cette nouvelle et surprenante orientation du congrès interreligieux, à Fatima, en Octobre 2003.[3]

"Nous n'avons cessé de répéter, et de mettre en garde, que ces profanations étaient inévitables, si les Catholiques ne  résistaient pas à ce nouveau programme œcuménique, fruit empoisonné de la liberté religieuse, du "Concile Vatican II "

Comme on pouvait s'y attendre, les responsables du "Nouveau Fatima" tel le Père Robert J.Fox, ridiculisèrent nos efforts; et tentèrent de dissuader les Catholiques de les prendre au sérieux. (1)  Ainsi, ce même Père Fox, le 25 Avril 2004, sur la station EWTN, prétendit que ce n'était que "des inventions", qu'il connaissait personnellement le Recteur du Sanctuaire, Guerra, lui-même; et que ce recteur ne permettrait jamais qu'une cérémonie interreligieuse y ait lieu...

Et moins de quinze jours après, la chaîne EWTN montrait la profanation du Sanctuaire de Fatima, par un rituel païen, avec la bénédiction du Recteur Guerra, et de l'évêque de Leira-Fatima!... 

Léon XIII, à la suite de ses prédécesseurs, déclare: "Nous sommes absolument liés, pour le culte divin, à la manière qu'Il (le Christ) nous a enseignée,  selon Sa volonté."[4]

L'hindouisme est le culte des faux-dieux, donc des démons : effroyable responsabilité du recteur, et de l'évêque du lieu !!!...

Pie XI considère comme "infâme, de placer la vraie religion de Jésus-Christ, sur le même plan que les fausses religions"[5]

Léon XIII enseigne de même: "Il est contraire à la saine raison, que l'erreur et la vérité, puissent avoir des droits égaux"[6]

   Ainsi "l'égalité, dont parle Mgr Guerra, "et le fond commun" d'où viendraient les différentes religions, est contraire à la vérité catholique. 

Le Recteur Guerra, et l'Évêque de Leira-Fatima, sont aussi coupables d'un énorme scandale. Leurs comportements, et déclarations, laissent entendre que les malheureux hindous, sous l'esclavage des religions païennes, peuvent plaire à Dieu, tels qu'ils sont !   Ceci est en contradiction, avec la volonté manifestée par le Christ, qui a dit:"Personne ne vient au Père que par Moi." "Celui qui croira, et sera baptisé sera sauvé; celui qui ne croira pas, sera condamné".

Les Hindous rejettent Jésus-Christ. Ils ne s'intéressent pas au baptême, ni aux vérités révélées par Dieu. Le recteur et l'évêque, conseillent et encouragent cette indifférence.  Par leur mauvais exemple, ils scandalisent non seulement les Hindous, mais également tous ceux qui observent leur attitude.

"Le scandale, dit Saint Thomas d'Aquin, c'est une parole, ou un acte, qui entraîne la ruine spirituelle du prochain."

Saint Léon appelle les auteurs de scandale: " des meurtriers qui ne tuent pas le corps, mais l'âme."

Saint Bernard dit qu'aux pécheurs, en général, les Écritures offrent une espérance de conversion, et de pardon; mais qu'Elles parlent de ceux qui scandalisent, comme des personnes séparées de Dieu; leur salut sera très difficile.[7]

Nous percevons l'aveuglement spirituel de ces gens qui persistent dans l'apostasie, malgré l'outrage fait aux catholiques. Néanmoins, nous devons prier pour eux. 

Et que dire des Hindous eux-mêmes ? Ils viennent à Fatima parce qu'ils ressentent une "divine énergie" "des vibrations de sainteté" "Les membres de  toutes les religions honorent le même dieu, et font partie de la même  famille globale.C'est le langage du paganisme, et non celui de la foi révélée.

"Les saintes vibrations" sont ce que les hindous appellent shakti; et ils vont à différents endroits, pour les chercher.  Ils se précipiteront pour être  en présence de Gandhi; du Dalaï Lama; ou de Jean-Paul II; pour qu'ils leur donnent le darshan, l'heureuse influence qui arrive en présence d'un saint homme.  

Leurs actions, et leurs paroles, viennent de la plus profonde superstition du paganisme, et non de la foi révélée par le Christ.   Ils ne viennent donc pas  à Fatima pour devenir catholiques, mais pour suivre leurs mythes, et superstitions païennes; et cela, dans un des lieux les plus sacrés du Catholicisme.

Ce n'est pas honorer la Mère de Dieu, mais La blasphémer, que de La mettre au même niveau que n'importe quelle déesse de leur panthéon démoniaque. 

"Quel accord entre le Christ et Bélial; ou quelle part le croyant a t-il avec un incroyant?" (II Cor.VI.15) 

A la fin de la visite, les hindous offrirent à Mgr Guerra, et à l' évêque de Fatima, un châle couvert de versets de la Bagavad Gita.  Ce livre contient une histoire, illustrant le principe fondamental de l'hindouisme.

"Un guerrier, Arjuna, à la veille d'une grande bataille, la redoutait, car il savait qu'il devrai tuer ses amis, ses parents, et ses professeurs!... Le cocher du char d'Arjuna, en réalité: le dieu Krishna, déguisé, lui dit de ne pas craindre cette future bataille, car rien n'était réel; personne n'allait mourir: toute la vie n'est qu'une illusion !...        

Alors Arjuna reprit confiance pour ce terrible combat, le tenant pour son dharma;  il se promit de tailler en pièces parents, et amis:  personne ne meurt, en réalité !   l'hindouisme est une coquille de noix: vous êtes dieu : tout le reste n'est qu'illusion! "   

Les catholiques qui furent témoins de ces abominations, à Fatima, auraient pu souhaiter qu'elles fussent une illusion; que tout cela ne soit pas arrivé !!!

Mais hélas, c'était bien la triste réalité. Ils doivent donc se souvenir de ces abominations, infligées à Rome, et à Fatima, et prier pour la conversion des coupables, qui remettent la chapelle de Notre-Dame de Fatima, à une religion qui a pour dieu le diable.           

 En conclusion, tous ceux qui ont organisé ces cérémonies sacrilèges, et qui continuent, ne sont plus catholiques.  Ils sont sortis de l'Église, une et sainte, pour constituer une secte conciliariste oecuméno-synchrétiste . 

"Si quelqu'un vient à vous, et n'apporte pas cette doctrine: ne le recevez pas chez vous; ne lui dites pas: salut; car celui qui lui dit salut, participe à ses oeuvres mauvaises" ( St Jean  II  10.11. )

 "Rome perdra la foi, et deviendra le siège de l' antéchrist " Notre-Dame,  La Salette :19 septembre 1856 

 

Jean-Paul II et le signe de la grande initiation Schivaïte.

 

Qui n'a pas vu Jean-Paul II se faisant marquer au front par une " prêtresse hindoue " et par une " prostituée et sacrée " au début de février 1986, d'un signe qui est celui de la divinité hindoue, Schiva (dieu ou de la destruction et de la reproduction), le signe du Tilak, le trident de sang, le signe de la grande initiation Schivaïte ! Le tracé de ce signe est fait, selon le rite, avec de poudre rouge.

 Le nom de Tilak est celui du brahmane Bal Gangedhar Tilak qui a propagé en nos temps moderne de l'hindouïsme, cette religion polythéiste qui utilise le sentiment religieux au prix de toutes sortes d'aberration, dans le sens d'une véritable magie assorti de débauche sacrée.  

Comme toute religion, l'hindouïsme a ses rites, et celui auquel s'est prêté Jean-Paul II est un véritable rite initiatique, c'est-à-dire un rite sacramentel  porteur d'une influence démoniaque.

 La photo de la cérémonie rituelle s'est partout répandue. On ne peut donc ignorer le fait ; mais ce que l'on peut ignorer, c'est la véritable signification d'un tel fait qui jamais ne s'est produit dans toute l'histoire de l'Église !...

 Et il faut tout d'abord savoir que la divinité appelée Schiva, est liée au Tantrisme qui est une véritable abomination de " débauche sacrée ". Monseigneur Léon Meurin (s. j.) a écrit dans son livre intitulé " la franc-maçonnerie, synagogue de Satan " à propos de Schiva :

 " l'adoration de Schiva (...) se développera bien vite en l'abominable culte du phallus, que nous retrouverons cru et nu avec la doctrine d'autres indo-perso-kabbalistique, dans la franc-maçonnerie, et surtout dans ses loges d'adoption (= loge féminine) ". (p.21)

 Il n'est rien de plus dangereux que les rites des religions païennes qui véhiculent la fameuse " influence spirituelle (diabolique) " dont parle René Guénon, et qui porte le nom de " rites initiatiques ", car ils font " basculer " les âmes dans un autre univers, l'univers de l'autre. Le maître en l'art luciférien que nous venons d'évoquer, et qui a étudié tout particulièrement l'hindouïsme, a écrit à propos du rite initiatique : il est " toujours efficace quand il est accompli régulièrement ; peu importe que son effet soit immédiat ou différé. Il vaut toujours et ne se renouvelle jamais. "[8] L'auteur qui cite ici René Guénon est sous un pseudonyme, le père Catry (S. J.), grand spécialiste en démologie.

 Le rite de la marque du signe de Schiva est un véritable rite sacrementel (il ne s'agit pas d'une métaphore mais d'une stricte réalité), car il est bien le signe sensible d'une action invisible, correspondant à une influence de " grâce " mais une grâce qui ne peut pas venir de Dieu. Nous sommes en pleine magie. D'une manière générale, les rites des religions païennes ne sont que la contrefaçon des Sacrements divins. Là, comme toujours, Satan se révèle le singe de Dieu.

 La franc-maçonnerie, telle qu'elle est devenue sous la puissante influence de la kabbale juive, sait l'importance d'une marque diabolique sur le front. Dès le troisième grade, celui de maître, le récipiendaire est frappé au front afin que soit exprimée rituellement la dénomination de Satan sur toute sa personne, corps et âme, (il est ainsi devenu la chose de Lucifer auquel il ne doit plus obéir que " comme un cadavre ") ("perinde ac cadaver ").

 On ne peut s'empêcher de penser à l'empreinte de la Bête de l'Apocalypse sur le front. Ainsi sur le front baptisé, confirmé, consacré de Jean-Paul II, le démon a imprimé sa propre marque et sous la forme d'un signe Schivaïte, tracée avec de la poudre rouge comme le demande le rituel hindou !...

 Mais, dira-t-on, le rite auquel s'est prêté Jean-Paul II, n'avait pour lui aucune signification diabolique ; ce rite aurait-il donc été à l'insu du récipiendaire, efficace ?

 La réponse à cette question se trouve dans un livre de Charles Nicoullaud, intitulée " L'initiation dans les sociétés secrètes - les initiation maçonnique " et préfacé par l'abbé Jouin[9]. L'auteur écrit :

 Les " sacrements du Mauvais, tout comme ceux de la sainte Église, agissent dans un certain sens " ex opere operato " (c'est-à-dire, par eux-mêmes), même dans l'ignorance de l'adepte qui se trouve avoir fait, souvent à son insu, un véritable pacte avec Satan... " (p.223)

 Le même auteur dit encore :

 " parce que la matière des Sacrements de Satan (tels la poudre rouge du Tilak) est ridicule, il n'en sont pas moins les signes d'un pacte plus ou moins tacites, entre lui et l'homme raisonnable qui les reçoit volontairement et librement. Les maléfices agissent, bien que la victime soit inconsciente... " (ibid p. 217 - 218).

 Il est de la plus haute importance de bien se rendre compte que l'intention ne change pas le rite. Si Jean-Paul II n'a vu dans la réception du Tilak qu'une forme de convivialité, il n'en a pas moins subi le plein effet du rite idolâtrique, effet qui doit influer sur toute sa vie, y compris évidemment sur sa fonction de " Pape ".

 Pour se soustraire à l'influence diabolique transmise par le rite initiatique (Sacrements du diable), il faut " prendre conscience de la gravité de l’acte accompli et agir en conséquence "  au prix quelquefois des plus pénibles sacrifices, mortifications et prières expiatoires ainsi que le souligne Charles (p. 223).

 Dans le cas de Jean-Paul II, étant donné qu'il s'est prêté à un rite idolâtrique, à la face du monde entier, il faudrait une abjuration publique !...

 La conclusion s'impose : on se moque pas ainsi des saints martyrs qui ont préféré sacrifier leur vie - et à quel prix ! - plutôt que d'accomplir de tels actes d'idolâtrie. Jean-Paul II est devenue la honte de ses saints martyrs comme il est devenu la honte de la sainte Église qui condamne les rites idolâtrique (étant bien entendu que les dieux des religions païennes sont des démons aux dires mêmes de la Sainte-Ecriture Psaume 95,5.), la honte du Christ dont il s'est présenté comme étant son vicaire (ne tenait-il pas le crucifix dans sa main droite quand il a reçu en souriant le signe de " l'idolâtrie ", en un mot, la honte de Dieu lui-même et cela, redisons-le, à la face du monde entier. En pratiquant l'idolâtrie, en reniant la Foi publiquement, quelle qu'ait été son intention, Jean-Paul II n'a-t-il pas de ce fait prouvé la nullité de son élection, puisque Notre-Seigneur a promis à Pierre et ses successeurs qu’ils ne faillirai pas dans la Foi ?

 N.B. 1 on peut se poser une question relative à la couleur rouge de la poudre employée pour le signe du Tilak. Quand nous disons : le signe, la marque, l'empreinte du Tilak, nous devons remonter à l'origine grecque, c'est-à-dire à un mot qui désigne une marque que l'on gravait, au moyen d'un fer brûlant, sur la chair des esclaves. C'est ainsi que des païens se faisaient marquer du signe de leur dieu favori, pour indiquer qu'il lui appartenait corps et âme.

 On aurait de ce fait l'explication (tout au moins une explication) de la couleur rouge employée pour graver le sceau du dieu Schiva.

 N.B. 2 Tel Pape, tels évêques.

 Au cours « du service religieux à hindou » qui s'est tenu à Fatima le 5 mai dernier, le grand prêtre a officié à l'autel de la Capelinha.  

Après avoir adoré leurs dieux et prié dans la Capelinha, les hindou (une soixantaine) furent conduits dans une salle où étaient exposés une maquette de la nouvelle basilique interreligieuse (véritable panthéon universel) en construction à Fatima. Là les évêques et monseigneur Serafin Ferreira a Sylva s’inclina devant le prêtre hindou et se laissa le revêtir (ainsi que le recteur du sanctuaire de Fatima) d'un châle rituel sacerdotal hindou. Se châle portait des inscriptions de la Bagavad Giva, livre sacrée de l'hindouïsme.

 N'est-ce pas là un acte d'idolâtrie ? Car il s'agit bien d'un châle rituel ?

 Dernière précision : une chanteuse de variétés, très en vogue à cette époque, au cours d'une tournée en Inde, s'était entendu proposer, amicalement, la réception de la Tilak. Or malgré l'ambiance, cet artiste a refusé : " C'est impossible : je suis catholique !... "

 Quelle différence entre un fidèle et un apostat * ! 


[1] Voir les photos pages 7

[2] Consécration du Genre Humain au Sacré-Coeur de Jésus que Pie XI publia avec l'Encyclique "Quas Primas" sur la Royauté du Christ,  le 11 décembre 1925. 

[3] Voir  J Vennari " Fatima deviendra-t il un sanctuaire interreligieux ?  Un compte-rendu de Celui qui était là"   (C F N  Décembre 2003 )

[4] Imortale Dei 1885  

[5] Quas  Primas 1925

[6] Libertas 1888

[7] Citations tirées du sermon de Saint Alphonse de Liguori  "Sur le scandale" ( Rockford : Tan Books, réédité en 1982 )  pp 168-181.

[8] « Permanences » - Novembre 1996 – René Guénon « Une super-religion pour initiés ».

[9] Le futur Mgr Jouin bien connu, notamment en raison de son importante revue La RISS (revue internationale des Sociétés secrètes), disponible aux Editions Saint-Remi, BP 80 33410 Cadillac, 110 € les 5 volumes, années 1928-1932

Accueil

Nous écrire

Bon de commande

comment commander

Charte Qualité

Catalogue classé par auteurs

Catalogue par ordre alphabétique

Livres anglais, allemand, espagnol et latin

Choix d'auteurs