LA MISSION DU PEUPLE DE DIEU, 24ème part. AU SEUIL DU CATACLYSME RUSSE,  par le comte Emmanuel de MALYNSKI
édition fac-simile, qualité 2, 1 volume 14,5x20, 500 pages  : 33 € 

— « A la veille de 1905, dix millions de familles paysannes possédaient environ quatre-vingt millions d'hectares de terre. Vingt-sept mille propriétaires, dont dix-huit mille nobles, disposaient de près de soixante-dix millions d'hectares. Le tiers environ appartenait à sept cents grands seigneurs. En même temps une surface beaucoup plus grande que ce que les uns et les autres exploitaient tant bien que mal n'appartenait encore à personne et restait inculte. Si une partie de cette surface appartenait nominalement à des personnes de la seconde catégorie, ils l'avaient acquise pour presque rien, et leur seul désir était de s'en défaire, même à des prix dérisoires ; et souvent ils la cédaient pour quelques roubles l'hectare, même pour un, car ils n'avaient pas les moyens de la faire fructifier (ch. I).

— « Le drame était qu’Alexandre III, pour rembourser la dette, contractait emprunt sur emprunt ; de la sorte il s’ouvrait au capitalisme apatride. Ce dernier profita de l’occasion pour introduire en Russie son jumeau tout aussi malfaisant que lui : le communisme (ibid.).

— « Les droits égaux pour les Juifs a signifié, selon l’observation constante, dans tous les pays, à toutes les époques, une inégalité de plus en plus criante au profit des seuls maîtres les Juifs anonymes. Cela, tout le monde l’observe, le sent, le murmure ; personne n’ose le dire ; moins encore protester. Les Juifs sont en outre comme la goutte de carmin qui suffit à teinter de rouge – un rouge bien symbolique –un plein verre d’eau ; ce phénomène se nomme judaïsation de la société*. » La Russie était le seul pays qui échappait à un tel dérèglement avant qu’Alexandre III ne contractât des dettes (ch. VI). »

* V ; le chevalier Gougenot des Mousseaux,  Le Juif, le judaïsme et la judaïsation des peuples chrétiens

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Couverture : Nieuport Ni-17C. Em. de Malynski (Brevet de pilote n°209) s’est trouvé aux commandes d’un de ces appareils en 1917.