DE MOISE A MOHAMMED ; L'ISLAM, ENTREPRISE JUIVE, par Hanna Zakarias
édition fac-simile, qualité 2, 2 volumes 14,5x20, 690 pages  :
50 € 

— Nous éditons cet ouvrage comme un irremplaçable témoignage qui éclairera tous ceux qui voient monter « la deuxième religion de France ».

— « L’Islam comme religion spécifique – écrit l’auteur – est un mythe. Son nom véritable et originel est JUDAÏSME (souligné par l’auteur)… un avertisseur de la religion d’Israël (sourates XXV & LXXIII ; ici t. I, p. 177) ».

— Après la dispersion, les Juifs, trop peu nombreux, ne pouvaient détruire la religion de l’Homme-Dieu qu’ils avaient crucifié ; ils inventèrent l’Islam conquérant pour prendre le christianisme en tenaille par le Bosphore et par Gibraltar. Les Juifs aidèrent les musulmans dans toutes leurs invasions ; l’histoire en garde les preuves pour nos successeurs.

— Citons encore le nom du mystérieux « rabbin de la Mecque » (pp. 97. sq.), et que Mme Zakarias semble ignorer : il s’agit du rabbin Ommaya ben Abiq Çalt, qui était d’ailleurs juif syriaque. Voici un autre jugement :

— « Les affirmations dogmatiques du Coran ne sont que d’informes débris des vérités catholiques, unis aux folies talmudiques et aux voluptueuses imaginations de l’Orient. Après avoir enfermé l’homme ici-bas dans les jouissances d’une vie toute sensuelle, il ne sait pas l’élever plus haut, même dans le paradis qu’il ouvre devant lui au sortir de la vie présente : là sont des bosquets, des jardins, des parfums, des festins, des vierges toujours jeunes, enfin tout ce qu’il y a de plus raffiné dans les convoitises terrestres. Cela ressemble, ou peu s’en faut, à la description d’un lieu mal famé (abbé E. Barbier :  Histoire populaire de l’Église, ESR, 2006).

— « Pour la partie morale du Coran, n’y eût-il pour le juger que l’effrayante dégradation, pire que celle des antiques sociétés païennes, où il a plongé les sociétés musulmanes, c’en serait assez pour le déclarer une infâme imposture (Ibid.). »

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Couverture : intérieur d’une mosquée.