DEUX MILLE ANS DE COMPLOT CONTRE L'ÉGLISE. Ie et IIe PARTIE, par Maurice PINAY
édition originale, qualité 3, 2 volume 14,5x20, 908 pages  :
48 € 

     — « Voici enfin, après quarante ans d'attente, une version française du célèbre ouvrage de Maurice Pinay « Complot contre l'Église » paru à Rome en 1962 et distribué alors aux Pères conciliaires.

— Sans crainte d'exagération, on peut assurer qu'aucun autre livre au cours de ce siècle n'a été l'objet d'autant de commentaires dans la presse mondiale. Violemment défavorables furent ceux des communistes et de tous ceux que contrôlent les francs-maçons et les juifs, et extrêmement élogieux, ceux des rares revues catholiques indépendantes de ces forces sataniques, et qui eurent le droit d'exprimer librement leur point de vue. Chose vraiment inusitée en matière de publicité littéraire, un an après la diffusion de la première Edition italienne au Saint Concile, la presse des différentes nations du monde libre continue de parler de ce livre extraordinaire (Préfaces, passim). »

— Le corolaire du complot est l’incroyable lâcheté ou sottise des catholiques clercs et laïcs qui se laissèrent vulgairement suborner par un mot creux inventé tout exprès : antisémitisme. Les juifs s’en firent rempart sophistique en trois temps :

1) — comme une discrimination raciale du même type que celle exercée par les planteurs américains ou les nazis. Ils présentent ainsi l'antisémitisme comme un racisme qui exercerait une discrimination contre les autres races comme inférieures, ce qui est contraire aux enseignements du Golgotha, qui établit et affirma pour la première fois sur cette terre l'égalité des hommes devant Dieu ;

2) — simplement comme une haine du peuple juif, contredisant la maxime sublime du Christ : « Aimez-vous les uns les autres » ;

3) — comme l'attaque et la condamnation du peuple qui donna au monde Jésus et Marie. Cet argument là, les juifs l'ont appelé « l'argument irrésistible » ! C’est en effet le sophisme des sophismes.

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Couverture : Jacques Basnage, 1713, gravure sur cuivre : Les armées de Titus incendient le Temple de Jérusalem ; dans la bande violette : une ménorah.