L'EMPREINTE D'ISRAËL,  par le comte Emmanuel de MALYNSKI
édition fac-simile, qualité 2, 2 volumes 14,5x20,5, 440 pages  :
32 € 

– Jamais on ne rencontre, dans les écrits privés des théoriciens bolcheviques, un mot de sympathie, moins encore d’affection ni de compassion pour ceux qui souffrent. Weishaupt, Marx Engels, Lénine, Blum les décrivent comme « des gueux, une racaille, des imbéciles ». Chose que devraient méditer ceux qui les écoutent et les célèbrent comme des philanthropes. Malynski est plus avisé : il va aux sources juives du capitalisme et du socialo-communisme ; c’est la même affaire :

— « Le communisme a fait un grand essai expérimental en Russie, sur l'arène la plus grande, au milieu de la population la plus docile et la plus apte à fournir l'élément de vivisection ; bref dans les circonstances les plus favorables qu'il soit possible de rêver et il a échoué dans une catastrophe économique dont les dimensions sont sans précédent et dont ne sortent victorieux que les Juifs. Ceci est indiscutable, clair et net.

– « Un autre phénomène est symptomatique de l’histoire du monde. Sous aucune latitude et longitude, on ne rencontre des traces de communisme qu'à l'état particulier : dans les seules communautés que les Juifs – Marx en tête – ont pourchassées avec rage et fureur à savoir les congrégations et couvents catholiques d’hommes ou de femmes, qui forment continûment depuis deux millénaires très exactement des monarchies communistes acceptées comme telles par tous et chacun des membres.

– « Ce succès millénaire, connu de tous, est dû à ce qui échappe aux doctrinaires ivres de vouloir changer l’homme : le libre-arbitre des volontés animé d’une foi commune, d’une espérance commune, d’un amour commun. On sait même y soulager et soigner les malades et les malheureux, car on y soigne en effet les malades non pas la maladie ; on y soulage les malheureux et les miséreux non pas le malheur et la misère. Ce qui se fait au nom de Dieu. »

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Couverture : Nieuport Ni-17C. Em. de Malynski (Brevet de pilote n°209) s’est trouvé aux commandes d’un de ces appareils en 1917.