LES INFILTRATIONS MACONNIQUES DANS L'EGLISE,  par l'abbé Emmanuel BARBIER
édition fac-simile, qualité 2, 1 volume 14,5x20, 272 pages  :
20 € 

Joseph de Maistre disait sobrement ceci à propos des infiltrations dans l’Église :

— « Ceux qui nient l’existence d’une conjuration depuis le Golgotha sont soit des sots, soit des conjurés » (De l’Église gallicane dans son rapport avec le Saint Siège, Livre second, ESR).

Avec une commisération navrée nos contradicteurs nous opposent un bien curieux argument contre toute évidence : « Vous vous faites des idées — rétorquent-ils — vous vous croyez victimes d’un complot, d’une persécution, d’une conjuration. Vous êtes dans le cas d’un esprit malade qui s’invente un ennemi. » Et lorsque vous chercherez quoi répondre vous vous apercevrez qu’on vous amène sur un terrain miné bien connu, celui du révisionnisme, du négationnisme donc de l’antisémitisme.

— « Les infiltrations Maçonniques nous parlent du plan de Satan infusé dans les loges par les Illuministes de Weishaupt. Satan est un ange très-réel et « ceux qui le nient sont soit des sots, soit ses complices conscients ou pas… »

« Quand on tient fortement les deux bouts de la chaîne, écrit l’abbé Barbier, en modifiant une parole célèbre, il faut bien se garder de les lâcher par le motif qu'on ne voit pas comment les anneaux se soudent entre eux…

— « C'est là, poursuit-il, une maxime sur laquelle les catholiques doivent régler tout d'abord leur jugement, et conséquemment leur conduite, par rapport aux infiltrations maçonniques dans l'Église. Le comment — qui donnera l'explication de cette invasion — leur échappe parfois, mais ce ne saurait être un prétexte raisonnable de fermer les yeux sur un fait qui est incontestablement connexe de deux autres dont la réalité est aussi claire que le jour. Le pourquoi qui accompagne le comment est non moins prouvé : c’est la haine de la Croix.

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En couverture : Sceau royal & l’Osiris judéo-maçonnique

devant la Basilique Saint-Pierre de Rome.