LES JUIFS, ROIS DE L'ÉPOQUE, par Alphonse TOUSSENEL
édition fac-simile, qualité 2, 1 volume 14,5x20, 339 pages  :
23 € 

— Nous rééditons ce livre célèbre auquel manque le souffle de la foi. Nos contemporains vont-ils un jour comprendre ? Sombart suivra la même analyse un demi-siècle après lui.

— Commençons par noter que trois ans plus tard (1848) Marx faisait paraître sa machine de guerre révolutionnaire : Le Manifeste du parti communiste ; éblouissante confirmation des idées de Toussenel. L’un démontre que la révolution est juive ; le second que le capitalisme est juif. Les papes de l’époque, et ceux qui suivirent, de Pie IX à Pie XII, entendront comme nous que c’est la même chose, le même concert sinistre : subversion des gentils en vue de l’accaparement de leurs biens par Juda en marche vers l’empire du monde. Écoutons Toussenel, même s’il n’est pas, comme on dit, de notre chapelle :

— « Je préviens le lecteur, écrit Toussenel, que ce mot (Juif) est généralement pris ici dans son acception populaire : juif, banquier, marchand d'espèces. Personne ne reconnaît plus volontiers que moi que le peuple juif tient une place immense dans l'histoire de l'humanité ; c'est le peuple exclusiviste par excellence, le peuple de l'unité politique et religieuse. »

— « Malheureusement, tous ces liseurs de Bible, ont dit trouver écrit dans leur livre de prières, que Dieu avait concédé aux serviteurs de sa loi le monopole de l'exploitation du globe ; car ce peuple mercantile (momentanément associé à l’Angleterre), apporte, dans l'art de rançonner le genre humain, la même ferveur de fanatisme religieux qu’autrefois. C'est pourquoi je comprends les persécutions que les Romains, les Chrétiens et les Mahométans ont fait subir aux Juifs. La répulsion universelle que le juif a inspirée si longtemps n'était que la juste punition de son implacable orgueil, et nos mépris les représailles légitimes de la haine qu'il semblait porter au reste de l'humanité. » (pp. 21, sq)

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Couverture : Jérusalem au temps de Salomon (miniature du XIIIe).