LES LIBRES PENSEURS, par
Louis VEUILLOT
édition fac-simile, qualité 2, 1 volume 14,5x20, 538 pages : 30
€
Louis Veuillot nous parle ici de cette race issue de l’engeance ricanante et grimaçante financée par le Sanhédrin sur le trajet du Golgotha, financée aujourd’hui par la république démocratique, cet étrange régime qui n’écoute rien de ce que demande le peuple et ordonne ce que le peuple ne demande pas : les Libres Penseurs. La plupart des cuistres que peint Veuillot ont totalement disparu, quelques noms subsistent (George Sand, Hugo, Scribe), choyés encore par l’école maçonnique non pour leur talent, mais pour leur impudence.
— Si les noms n’évoquent plus rien aujourd’hui, les portraits que nous en donne Veuillot valent pour peindre les Prix Goncourt ou Renaudot ou Fémina d’aujourd’hui qui nous font le cadeau de participer à la judaïsation de la société chrétienne (le mot est du chevalier Gougenot des Mousseaux), judaïsation toujours jugée insuffisante puisque quelques millions d’habitants de notre pays ont le front de se proclamer persécutés, trahis, martyrisés sous un régime mondial de terreur froide.
— Le lecteur n’aura aucun mal à opérer la substitution des noms de tous les snobs incultes (on sait que « snob » est une contraction de sine nobilitate, c’est tout dire) et serviles qui font quelque bruit dans les quartiers du Marais et de Saint-Germain-des-Prés : les invertis célèbres, les petits truands de l’édition, les Nouveaux philosophes, les féministes et les journalistes inféodés, dorlotés par le pouvoir occulte.
— C’est le grand Veuillot pamphlétaire qui nous dit d’un seul mot de quoi est faite la célébrité républicaine : la condition pour avoir les honneurs de la presse c’est de réhabiliter Tartufe, Rousseau, Mandrin et tout ce qui fait la honte du genre humain, donc le P(h)arisianisme.
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Couverture : portrait de Voltaire.