HISTOIRE
SECRETE DE LA REVOLUTION ESPAGNOLE, par le vicomte Léon de PONCINS
édition fac-simile, qualité 2, 1 volume 14x20,5, 273 pages : 25
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— « En 1933, deux ans avant qu'un seul « volontaire » allemand ou italien ait apparu dans les rangs de l'armée de Franco, alors qu'une Constitution républicaine fonctionnait normalement et qu'un parlementaire radical gouvernait l'Espagne, — un État étranger intervient dans la péninsule ibérique ; fournit, avec « soixante-dix caisses d'armes, des tanks et des auto-mitrailleuses » ; ce même État étranger — fort-cupide, on le verra — dresse un plan, dont le texte est connu ; envoie des agents. « Sans Moscou, en effet, l'Espagne rouge n’aurait pas existé. »
— « Dès l'ouverture des hostilités, Largo Caballero (communiste et Franc-maçon) conclut un traité secret d'alliance avec l'ambassadeur juif des Soviets, Rosenberg. Les Juifs M. Nelken et J. Neumann, Bela Kun (le « tueur de la Hongrie ») sont délégués à Madrid comme « Conseillers » Moscou ne cachait même pas son jeu. Il existait depuis longtemps, dans un musée de la capitale de l' U. R. S. S., une salle consacrée à la future révolution communiste espagnole (v. Yvon Delbos : L'expérience rouge, pp. 185 et 186. Paris, 1933).
— « Espagnol ! — avertissait le roi — on violera ta femme, on tuera ton père, on séquestrera ta fille, on t'arrachera le pain et le vêtement, on t'assassinera dans le dos ; et l'Europe épouvantée se lèvera pour voir l'Espagne disparaître du rang de la civilisation. Voyons aujourd’hui que ce mot s’applique, ô combien ! à toute nation au bord d’émeutes révolutionnaires.
— « En une année 3800 grèves, 73 églises détruites dans les Asturies ; un prêtre, cloué sur l’étal d’une boucherie de Barcelonne, avec un écriteau : « cochon à vendre ». Le trésor royal, qui se fondait sur 2 800 tonnes d’or au temps d’Alphonse XIII, n’en comptera plus que 800 tonnes en 1936, les bolcheviques ayant exigé que les fourniture d’armes fussent payées en monnaie d’or ; c’est la bonne vieille alliance du capitalisme et du communisme visant à accaparer toutes les richesses de la planète.
— « Or ajoutait le roi : « Comptons en Espagne 5000 politiciens, peut-être 6000, contre 20 millions d’Espagnols qui rejettent le parlementarisme révolutionnaire, faut-il donc sacrifier vingt millions d’hommes pour fournir une rente à 6000 hommes nuisibles ? »
Vint alors Fr. Franco, parti des Canaries. Il allait persuader l’Espagne qu’elle n’était pas morte.
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Couverture : le taureau et l’emblème choisi par Trotski pour l’URSS (le taureau était le symbole de l’armée de Franco aux Canaries).